[REPLAY 📻]
D'entrée, le sieur Montiel lui a refait sa bio, comme il est de tradition, en rappelant qu'elle a été découverte il y a "longtemps" à la Nouvelle Star, ce qui a quelque peu angoissé l'intéressée (lol) Eh oui, sa première apparition dans nos écrans remonte à 2004 (Nouvelle Star) et, comme elle l'a rappelé non sans humour, même 2003 en vérité, en comptant le casting de l'émission avant même qu'elle ne soit diffusée. Souvenir mitigé dont elle préfère se souvenir plus de la fin que du début. Candidate à Lille, pour la saison 2, comme chacun sait ici, mais venue de Paris exprès pour le casting, cette expérience lui permet encore aujourd'hui de transmettre au mieux aux candidats de The Voice intégrant ses équipes, ayant vécu les mêmes stress, doutes... etc. Comme elle le dit si bien, elle essaie de leur laisser quelque chose de très positif pour leur parcours d'artiste à travers cette aventure; une émission dans laquelle elle officiera d'ailleurs encore en tant que coach dans la prochaine saison, au printemps sur TF1.
Elle a ensuite évoqué le duo qu'elle a récemment sorti et donc de la jeune chanteuse avec laquelle elle partage celui-ci : Imen Es. Une très belle voix, une très jolie chanteuse, et une super nana avec laquelle elle adore chanter, passer du temps, échanger. De mentionner qu'elles ont 15 ans d'écart et que la musique créée des ponts qui abolissent, en quelque sorte, les frontières générationnelles, ce qui leur a permis de s'amuser autour de cette passion qu'elles ont en commun. Hyper heureuses d'avoir fait ce titre ensemble, qui fait son bout de chemin encore aujourd'hui, avec des records de vues sur youtube et autant en streams sur les plateformes légales ainsi qu'en radios. En lui souhaitant, au bout du chemin, une certification plus que méritée.
Elle a effectivement parlé, comme certains médias bien réducteurs (qui parlent même d'"échecs sans qu'elle n'ait dit elle-même ce mot lol), des scores moins "foufous" de ses derniers opus rapport à la période faste de ses débuts, tout en étant très lucide sur la vie d'artiste faite de hauts et de moins hauts; preuve en est ce nouveau succès presque 18 ans après. Et on est très heureux aussi pour elle plutôt que faire le focus aisé sur une phrase sortie du reste de l'interview tels certains mauvais esprits... (sans plus de commentaires envers ceux auxquels je pense. NDLR).
Puis, elle a pu parler de Johnny dont Bernard Montiel a diffusé une des nombreuses occasions de duos qu'elle a partagé avec le taulier de la chanson française. Ce qui lui provoque toujours autant d'émotions à l'écoute. Et d'ajouter que sa propre mère n'a jamais été aussi fan d'elle que lorsqu'elle a partagé le micro avec lui. Une maman qui a priori était déjà une grande fan du chanteur, plus jeune. Cela reste donc une grande fièreté autant pour elle que pour son proche entourage d'avoir pu passer ces moments sur scènes. Même si, fidèle à sa grande humilité, elle s'est toujours demandé pourquoi il l'invitait aussi souvent à performer en sa compagnie. Que dire si ce n'est que c'est autant à cause de sa personnalité que de ses talents d'artistes sur scène et de sa puissance vocale. Mais n'allez surtout pas le répéter à Amel, elle manque sérieusement de recul là dessus hihi !
Après cela, Bernard Montiel lui a proposé un blindest dans lequel elle a d'abord reconnu Camille Lellouche (performant sur "Parle encore"). Cette dernière qu'elle a connu chanteuse avant même l'humoriste qu'elle est devenue entre temps. Et, comme toutes les anecdotes plus ou moins répétées dans les médias, elle a rectifié quant à l'endroit où elle l'a connu. C'était à Hyères, sur la Côte D'Azur. Elle échangeait avec elle, le courant passait bien entre elles amicalement et il y avait un grand piano qui était là; elle s'est mise derrière et là wooow ! Ca a matché direct ! Elle l'a revu par la suite, comme tout le monde, en humoriste, salles combles avec ses moments chantés durant son spectacle. Elle lui souhaite le meilleur pour sa carrière également en tant que chanteuse, parce que c'était son premier rêve, et qu'elle le mérite. Le second à s'être fait reconnaitre, durant ce blindtest, c'est Kendji ! Lui qui avait performé sur "Ma Philosophie" durant son parcours dans The Voice, à l'époque. Elle avait "tweeté", à l'époque dit-elle même. Ca l'avait énormément touché qu'elle reprenne ce classique. "Il avait dit - je suis gitan mais pas martyre - ça m'avait beaucoup ému", a-t-elle ajouté. La dernière de cette série, à être découverte, est Laure Giordano qui avait repris "Ma Philosophie" en faveur d'une association venant en aide aux femmes victimes d’isolement social, violences conjugales et précarité financière (qui s'appelle >>Les Amis du Bercail<< pour celles et ceux qui voudraient la soutenir).
Dove Attia a, de nouveau, eu aussi droit à ses quelques minutes de solitude et de nostalgie rapport à sa sortie de l'époque Nouvelle Star à l'audition d'Amel. Bien évidemment, cette dernière ne lui en a jamais tenu rigueur mais la séquence restera tout de même dans les mémoires... jusqu'au bout, si j'ose dire. Pardon Dove. hihi!
Céline Dion et le grand Charles ont été également des quelques souvenirs d'Amel notamment par la chance qu'elle a eu de chanter quelques notes de "I Surrender" devant Céline sur un plateau tv. Et on a eu le droit à quelques notes de "La Bohème", en bonus.
Au préalable de l'écoute du classique de Brandy & Monica (The Boy Is Mine), elle a fait cette anecdote que le premier concert qu'elle ait vu, à 12 ans, était celui de l'une des grandes techniciennes américaine de la vibe, dans le monde du R'N'B que BRANDY est encore. Elle a pu y assister grâce à sa cousine qui travaillait au Zénith de Paris, à l'époque. Elle s'est retrouvé une nouvelle fois, très ému mais pas tant par la situation que par l'envie d'être à sa place, sur scène. C'est à partir de là qu'elle a débuté les castings et que ça l'a mené vers où l'on sait maintenant. Et elle l'aime encore aujourd'hui en parlant du dernier opus la chanteuse "B7" en ce terme d'incroyable !
"Sa jeunesse" reste définitivement la préférée d'Amel des chansons de Charles depuis toujours, n'a-t-elle encore de cesse de le répéter. Et une fois encore ici.
Entre deux séquences, elle parlé de son angoisse que l'on oublie à quel point son parcours et les nombreuses rencontres folles qu'elle a pu faire sur celui-ci sont justement hors normes et que donc il n'y a rien d'acquis ou d'attendu dans ce métier, qu'il ne faut jamais rien banaliser.
"C'est important qu'on se sente aussi dans le don de soi... Ce n'est pas la vie d'artiste à ce moment là mais la vie de bénévole" dit-elle en parlant du rôle de ceux qui partagent la scène des Enfoirés, chaque année. Et de se remémorer les têtes épuisées qu'ils ont tous souvent à la fin de la série de concerts, qu'il faudrait pouvoir filmer (mdrrr!) pour dire à quel point ce ne sont pas des vacances mais un vrai don de soi quant bien même cette semaine passée ensemble pour cette belle oeuvre créée également de très joyeux souvenirs.
Quant à ce qui est de son engagement récent pour son rôle (qu'elle ne pouvait refuser) dans la fiction "Les Sandales Blanches" (diffusée prochainement sur France 3), elle avait bien conscience d'avoir quelques lacunes en tant qu'actrice (satanée humilité ;p). Mais elle s'est attachée à travailler, tel qu'elle l'a toujours fait, avec beaucoup d'obsessions.
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