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Bent World: La teamel d'Amel
23 avril 2018

Amel en interview pour Télé 7 Jours (paru aujourd'hui) programmes du 28 Avril au Mai

 

ITW Télé 7 Jours-28avril-4Mai

(INTERVIEW de  Jérémy Parayre et photographie de Benjamin Decoin)

Amel Bent, la chanson du retour

La future coach de The Voice Kids enregistre un nouvel album. Elle nous a fait écouter le premier single, Si on te demande, en avant-première. Elle est fébrile. Devant la table de mixage, elle avoue ne pas avoir passé une bonne nuit. Amel Bent savait que, aujourd’hui, elle allait faire écouter « la chanson de son retour », la première depuis quatre ans. Au moment d’appuyer sur play, elle me regarde fixement. Sa maman est à côté de moi, droite comme un « i ». Quand les premières notes se font entendre, les yeux de celle-ci se mouillent. Quelques minutes plus tard, elle confiera : « Je l’écoute toute la journée, je suis fière de ma fille ! » Amel revient aux sources, avec ce tube enlevé, au texte ciselé signé Kerredine Soltani. Elle se replace en chanteuse d’hymnes, en conteuse d’histoires. Son histoire.

Jérémy: Pouvez-vous nous dire comment cette chanson est née ?
AMEL: Ça fait plus d’un an que je travaille sur cet album. C’est mon manager qui m’a parlé de Kerredine, qui écrit, notamment, pour Zaz. Une sorte de « Goldman des temps modernes », selon moi. On ne se connaissait pas. Il a écrit un titre de son côté. Quand ils l’ont écouté, tous les deux, ils ont pleuré. Et quand je l’ai finalement entendu, j’ai pleuré aussi. J’ai ressenti la même chose qu’avec "Ma philosophie" et "Où je vais" : ce sentiment que, obligatoirement, ces chansons sont celles qui lancent un disque. Comme une évidence…


Jérémy: En quoi vous touche-t-elle plus particulièrement ?
AMEL: Elle parle de ma vie, de ce que j’ai traversé, de mes espoirs pour l’avenir, de ma maternité. C’est aussi une réponse à mon absence : « Si on te demande est-ce que je vais bien / Dis-leur que je suis mère / Et jamais une mère ne se plaint. / Si on te demande quand est-ce que je reviens / Dis-leur que je suis là / À quelques stations de train. » Et me voilà !


Jérémy: Vous chantez aussi « Les yeux secs / et la voix éraillée… » C’est parce que vous avez séché vos larmes d’hier ?
AMEL: On peut le voir comme cela. Mais Kerredine m’a donné un autre sens, en me disant : « Quand tu es à moto, par exemple, que tu vas très vite en avançant, tu as les yeux secs. » J’ai aimé cette vision de moi, fonceuse, prise dans le tourbillon de la vie.

Jérémy: Vous aviez peur de revenir ?
AMEL: Oui. Peur de ne pas retrouver ma voix. Elle est toujours là, plus profonde, mais plus jeune à la fois. Je ne sais pas comment l’expliquer. Peut-être
mes grossesses… ou l’âge.


Jérémy: À quoi va ressembler cet album ?
AMEL: Il sortira en fin d’année, je pense. Il sera le reflet de ce que je suis aujourd’hui. La pause que j’ai faite a été à la fois cruelle et vitale. C’est de cela qu’il s’agira dans mes nouvelles chansons : ma vie, mes filles, mon mari, ma vie d’artiste, mes espoirs. Il y a un titre écrit par ma petite soeur : "La Tête à l’envers". Un titre de Rose (chanteuse, auteure et compositrice, ndlr), aussi : "T’aimer de trop".


Jérémy: Depuis quelques semaines, vous postez sur Internet des moments de votre carrière. C’est parce qu’une page se tourne et qu’une autre Amel Bent arrive ?
AMEL: Je ne pense pas avoir changé. La femme a changé, oui, c’est sûr. La chanteuse, non. J’ai toujours l’impression de jouer ma vie, ma carrière, à chaque chanson. Rien n’a bougé depuis le début, finalement. Après, vous avez devant vous une épouse, une mère. Ce que je n’étais pas auparavant. J’ai ma vie de famille, mon cocon à moi, et ça me donne une force surnaturelle.

(Télé 7 Jours N°3022) "Si On Te Demande", single disponible dès Vendredi 27 AVRIL.

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28 février 2018

[Parution presse]: Dans le Gala📰, en date d'aujourd'hui, reportage "La jeune génération à l'assaut des Enfoirés"!

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19 février 2018

[Parution presse]: Amel & Lorie sont en couverture du TV Grandes Chaînes N°363 -24/02>09-03- (extraits interview Amel)

TV Grandes chaînes n°363

TV Grandes chaînes n°363-2

TV Grandes chaînes n°363-3

EXTRAITS DE CETTE INTERVIEW CROISEE:
...
•A quoi peut on s'attendre avec ce spectacle baptisé Musique! ?
AMEL BENT: À de l'émotion ! Nous rendons hommage à Johnny Hallyday et à France Gall. Chaque soir, tout le monde sur scène était en larmes, c'était intense
...
•Connaissiez-vous Johnny Hallyday?
...
J'ai eu la chance de partager plusieurs duos avec lui. Quels beaux souvenirs !
Vous êtes fidèles aux Enfoirés depuis plus de dix ans. Mettez-vous un point d'honneur à être présentes chaque année?
...
Je crois bien que je suis une Enfoirée à vie ! Et même si, un jour, je ne suis plus chanteuse, je me débrouillerai pour faire quelque chose pour l'association.
•Jean-Jacques Goldman a quitté la troupe. Comment vivez-vous son absence?
On pense tout le temps à lui. Il nous manque car il était toujours dans un coin à nous observer. Il entendait, voyait et savait tout !
...
Quel est votre souvenir le plus mémorable dans les coulisses des Enfoirés?
Il y a quelques années, j'étais habillée en tahitienne pour un tableau. Ce costume était tellemnt dur à revêtir que c'était devenu un gag. Je peux vous dire qu'on a eu des fous rires mémorables ! La jupe était en paille, et elle me rentrait dans la peau, c'était terrible ! [Elle rit]
...
•Comprenez-vous que des artistes comme Slimane refusent de venir chanter avec les Enfoirés, par peur de se déguiser?
Je le comprends car c'est un vrai exercice. Quand je croiserai Slimane, je lui dirai que toutes les personnes qui travaillent sur les spectacles veulent notre bien. Personne ne veut nous humilier.
...
Une fois, par pudeur, j'ai demandé qu'on rajoute du tulle sur un costume. C'était un juste-au-corps, et je n'assumais pas de me trimballer comme ça devant 10 000 personnes. Je n'avais pas trop envie de me faire disputer par maman ! [Elle rit.]
•Vous êtes devenues deux stars de TF1. Amel, vous serez bientôt coach dans The Voice Kids et Lorie, vous êtes l'une des héroïnes de Demain nous appartient. Êtes-vous fières?
Avec The Voice Kids, je me rends compte que je ne suis plus la petite fille qui passe des castings. J'ai au contraire la chance de regarder des gamins qui seront les stars de demain, et c'est peut-être moi qui vais changer leur vie. C'est génial ! Et concerant Lorie, je l'admire car elle sait tout faire : jouer et chanter. Pour moi, c'est une douleur de me glisser dans la peau d'une comédienne.
LORIE: Tu es humble parce que j'ai partagé des sketchs avec toi, et tu joues très bien...
🔲Propos recueillis par MAGALI VOGEL🔲
18 janvier 2018

LA PHOTO-CONFIDENCES de Nikos Aliagas pour le magazine GALA

"#merci @nikosaliagas ❤️🙏🏽👍🏽"



"La Photo-Confidences de Nikos Aliagas ©📸🔝 (magazine Gala du 17 Janvier): @inst_amel "JE ME SENS MIEUX AUJOURD'HUI..." 📸📸📸📸 🖤🖤🖤🖤 #amelbent #teamel #thevoicekids #nikosaliagas #gala #bestphotographer #blackandwhite"



"avec mon équipe de rêve , mes amis @albantravia @mariemakeupparis dans l'objectif de @nikosaliagas ❤️"

[Albantravia Hairstylist Paris instagram]

"#hairbyme @inst_amel #longhairdontcare @dysonhair @davinesfrance #thevoicekids #picby @nikosaliagas"

4 novembre 2017

[The Voice Kids]: Extrait de l'interview accordée à Yahoo par Nikos Aliagas

...

Comment se sont passés les tournages de “The Voice Kids” la semaine dernière avec les nouveaux coachs Amel Bent et Soprano ?

C’est comme s’ils avaient fait ça toute leur vie. On s’attendait à un tour de chauffe un peu plus long et en fait ça a fonctionné tout de suite avec Amel et Soprano. Désormais tous les coachs de “The Voice Kids” sont parents donc ils savent comment parler aux enfants. Quand ils ne se retournent pas, ils ont la boule au ventre pour les candidats, ils se lèvent pour aller les voir, les prendre dans leurs bras, c’est vraiment sympa.

...

(lien vers l'interview intégrale ICI)

THE VOICE KIDS

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16 octobre 2017

Intégrale de l'interview pour Télé 7 Jours

Télé 7 Jours - N 2995 - Du 21 au 27 Octobre - 1

Télé 7 Jours - N 2995 - Du 21 au 27 Octobre - 2

"@tele7jours dans les kiosques #photographiée par @bendecoin 💋"



"😊"



"#NEWPP 💓"





😊
(c) Benjamin Decoin photographies
17 février 2017

[Les Enfoirés]: Amel et Patrick Bruel sont en Une du Télépoche, en kiosque ce lundi

Télépoche du 25 Février au 3 Mars

23 février 2015

Sur la route des enfoirés, rdv le 13 Mars (article purepeople)

Matt & Amel

30 septembre 2014

Interview "Seine-saint-Denis"

"La Seine-Saint-Denis d’Amel Bent

Bientôt dix ans de carrière pour Amel Bent. Celle qui a grandi à La Courneuve se sent toujours chez elle en Seine-Saint-Denis… la chanteuse revient pour nous sur les lieux de son enfance.

Bientôt dix ans de carrière pour Amel Bent. Celle qui fut découverte grâce à la Nouvelle Star a sillonné la France avec son dernier album « Instinct », et s’apprête à chanter au casino d’Enghien, limitrophe d’Epinay-sur-Seine, à partir du 5 octobre 2014. La Courneuvienne revient pour nous sur les lieux de son enfance. La Seine-Saint-Denis… un département qu’elle défend bec et ongles.

Vous savez que je vous interviewe pour le Département de la Seine-Saint-Denis ?
Ouaihhh !!! C’est chez moi. De ma naissance à vingt ans, j’ai vécu ici à La Courneuve.
J’ai une tante qui habite Pantin à côté des Courtilières, à la cité Diderot. Mon autre tante habite Aubervilliers devant le commissariat, à Rechossière, à la cité Vallès. J’ai toute ma famille dans le 93. Mon père habite toujours La Courneuve. Mes grands-parents…

Vous avez l’air très attachée à ce département…
J’ai eu une enfance heureuse, très belle en plein milieu des 4000. C’est vrai que c’est dur financièrement, pour les parents, pour les familles. Il y a le chômage, une vraie misère sociale. Mais il y a toujours eu cette générosité entre voisins, entre commerçants. En Seine-Saint-Denis, je n’ai jamais ressentie l’insécurité. J’ai toujours été féminine, j’ai toujours aimé chanter. Je ne suis pas la fille la plus discrète de la terre. Je parle de ça même quand je n’étais pas connue. Et les grands frères de la cité ne m’ont jamais insulté parce que je portais une jupe. Au contraire ils me protégeaient. Ils portaient le sac de ma mère quand elle rentrait des courses. Ça s’est passé comme ça pour moi. Je ne l’ai pas inventé.

Il y a toujours cette tendance à diaboliser la cité… ça me saoule. C’est décourageant pour les jeunes d’être toujours montrés du doigt, d’être toujours diabolisés, c’est décourageant. Ça n’aide pas. Je ne suis pas en train de nier qu’il y a des problèmes ici ou ailleurs. Après encore une fois moi, je vais avoir 30 ans et je ne peux pas savoir comment ça se passe aujourd’hui dans la cité pour les jeunes de quinze ans. Moi, en tout cas de ma naissance à mes 20 ans où je suis partie de la Courneuve, je n’ai jamais eu de problème. Je n’essaie pas de passer un message… je dis juste qu’il faut arrêter de généraliser.

Ça je ne l’ai jamais dit à la télé, mais un jour ça va sortir… vous voyez, j’ai vécu 20 ans aux 4000 et la première fois qu’on m’a proposé de la drogue, c’était des gens haut placés, qui avaient une bonne vie, qui habitent dans les beaux quartiers. Je leur ai dit non merci ça va. La délinquance a plein de visages. Elle n’est pas forcément là où on croit.

Parlons à présent de votre album sorti en début d’année. Un morceau se détache des autres : « Les temps qui courent ». Un texte très fort, on peut y mettre plein de choses. Fait-elle partie de vos préférées ? (ndr : Qu’il est loin le temps des fleurs et du jasmin, faut-il dire au revoir aux projets, nos rêves de lendemain qui s’envolent avec les vautours, par les temps qui courent »).

« Les temps qui courent ». Même sur mes cinq albums, cette chanson fait partie de mes préférées. C’est une chanson qui me touche beaucoup, beaucoup. C’est un morceau plein d’espoir… mais ce n’est pas une chanson triste, c’est ça qui est encore plus magique. Arriver à faire une chanson qui nous touche sans être larmoyante. C’est François Welgrin qui a écrit le texte, c’est quelqu’un avec qui je travaille depuis dix ans, depuis le premier album. C’est un vrai fidèle, auteur et co-auteur depuis le début qui m’écrit des chansons pour moi. C’est le fruit d’une relation de travail, d’amitié. Quand il m’a fait écouté la chanson la première fois en studio, j’étais déjà en larmes.

C’est un beau cadeau…
Oui c’est ce que j’allais vous dire, c’est un très beau cadeau.

Le reste de l’album est très électro, non ?
Electro-hip-hop, électro dub-step, et même funky avec Ne-Yo. J’avais envie de gros son sur cet album, des sons plus « fat » pour la scène. Je fais mon entrée de scène avec Gemini d’ailleurs. J’aime bien.

Où allez-vous prochainement vous produire ?
A partir du 5 octobre, on commence avec le casino d’Enghien et puis après dans toute la France, avec 15 dates. On revisite le concert pour les casinos Lucien-Barrière. C’est un nouveau défi. Encore du travail, du plaisir, encore une aventure. C’est une chance. On va dépasser la centaine de concerts pour cette tournée.

Et vous arrivez toujours avec cet emploi du temps à être marraine de l’Unesco ?
Bien sur, je suis toujours marraine de l’Unesco pour les programmes d’alphabétisation dans des villages du Sénégal. J’y emmène des journalistes pour mettre en lumière notre action là-bas. Et j’y retourne sans eux. Ce sont des rencontres, juste humaines, de femme à femme. Je suis leur copine. Je suis leur amie. Il y a des endroits où je vais où elles n’ont pas la télé. Elles ignorent qui je suis. Elles ne savent pas que je chante, ni que je suis connue. Il n’y a pas de relation faussée. Ces femmes sont trop merveilleuses. C’est une leçon de courage. Quand je reviens de là-bas et que j’arrive à Paris je suis remontée à bloc. J’ai envie de tout défoncer. J’ai envie de me battre encore plus.

Propos recueillis par Isabelle Lopez

La Seine-Saint-Denis d’Amel Bent


La salle Jean-Houdremont à la Courneuve

« Le service jeunesse de La Courneuve, et notamment Bruno qui s’occupait de nous, avait organisé salle Jean-Houdremont un concert avec l’association Banlieues Bleues. Je devais avoir douze ans, j’étais en sixième et avec mes copines on a eu la chance de partager la scène avec des chanteuses de Brooklyn. On était accroupie devant ces filles, de grandes blacks, avec ces grosses voix de gospel. On en rêvait de chanter comme ça plus tard. C’était incroyable de vivre cette expérience. C’est mon premier souvenir de chant. »

Les 4000
« J’ai vécu à Renoir, puis à Presov, je fréquentais l’école Romain-Rolland, ensuite j’ai déménagé vers la Cité d’Inter et là j’étais en primaire à Louise-Michel. Ensuite le collège Politzer mais je trainais avec les filles de Raymond-Poincaré car ma MJC était dans le coin. J’ai eu une enfance heureuse, très belle en plein milieu des 4000. Je n’ai jamais ressentie l’insécurité. Je ne me suis jamais faite insulter parce que je portais une jupe. Je n’ai jamais eu de problème en Seine-Saint-Denis. Ça a été plus difficile pour moi quand j’étais au lycée à Paris que quand j’étais à Jacques-Brel ou Politzer. »

Le parc départemental Georges-Valbon
« Le parc de la Courneuve, c’est toute ma vie... Les pique-niques en famille, la Fête de l’humanité… je crois qu’on l’a sillonné de long en large et en travers. Je le connais par cœur. »

L’hôpital Delafontaine, à Saint-Denis
« C’est là où j’ai vu ma petite sœur et mon petit frère pour la première fois, je m’en souviens. La maternité, ce sont des rendez-vous heureux. Je suis venue en tramway, pour mon petit frère… si je ferme les yeux, je me rappelle même de la station. »

Le stade Géo-André
« J’ai joué au foot avec les garçons dans ce stade. C’est aussi là que j’allais voir les matchs des Flashs, l’équipe de football américain de la Courneuve. Je n’ai jamais été trop fan de football américain… mais bon, c’était des copains à l’époque… on fréquentait les mêmes écoles. J’ai chanté aussi dans ce stade. »

Trois dates
1985 Naissance à l’hôpital Bichat, Paris 18ème
2004 elle finit 3ème de l’émission la Nouvelle Star
2006 « Ma philosophie » est vendu à 900 000 exemplaires"

source site http://www.seine-saint-denis.fr/

23 septembre 2014

Article du Télé 7 Jours du 27 Septembre

Télé 7 Jours 27 Sept part I

Télé 7 Jours 27 Sept part II

Télé 7 Jours 27 Sept part III

extraits:

  • "J'ai toujours voulu rester une fille du peuple. Aujourd'hui, je me fais un peu plus plaisir.

Je vais avoir 30 ans, le temps passe. Je veux en profiter";

  • "à 30 ans, je me sens plus libre, plus belle...donc la chanson <<à 30ans>> serait beaucoup plus optimiste,

plus sereine, comme moi";

  • "Je suis un coeur ouvert...j'ai besoin de parler. Et ça m'a aidée.

Faire des chansons là-dessus et toucher un public qui vit aussi ce que tu racontes";

  • "<>, c'est mon petit miracle, mon hymne";
  • "J'ai envie de textes plus engagés comme j'ai pu le faire avec <>;
  • "Je vais prendre mon temps. J'ai l'habitude de sortir un album tous les deux ans. Là, ce sera peut-être plus long";
  • "-Finalement, est-ce qu'aujourd'hui, à 30 ans, vous avez toujours la même <>?

"-Oui, toujours le poing levé, toujours être acceptée comme je suis, toujours continuer à vivre ma passion. Et rien ne m'arrêtera".

 

Article de Jérémy Parayre

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